Les artistes

Yves Lohé est né en 1947, dans le Nord de la France. Très tôt son caractère Rêveur et solitaire le rapproche de la Nature. Adolescent il se refugie dans la Poésie et le Théatre.Il se verrait bien écrivain.
Après des études classiques, il se lance dans des études de droit, puis par vers l’enseignement. Très vite il sent son attrait pour la sculpture reprendre le dessus de ses émotions.
En 1972, il fait un stage chez Abel Bataillard, l’un des grands Maître Ferronnier de Pigalle. dès 1974, il décide de quitter l’enseignement et se tourne vers la Sculpture au travers des ARTS du FEU. Il crée ses premières oeuvres, en Fer Forgé, le premier Art du Feu.Il exposera dans les Salons Parisiens avec les Artistes Français Indépendants.Ses oeuvres s’inspirent alors des Mains, 80 sculptures verront le jour, en fer forgé, allant de la poignée de main au coup de poing, qui crient sa rage de vivre. Viendront ensuite des personnages filiformes. L’espression corporelle, l’étude des formes et des attitudes seront ses principales sources d’inspiration au travers de divers thèmes tels que la danse, la Musique, les gens de la Rue, les animaux etc…
Peu à peu les formes s’adoucissent. Il réalise des sculptures monumentales pour des villes et villages de France.
En 1979, il construit son atelier de bronze et quitte les réalisation en fer forgé, deuxiemme art du feu.
En 1991, sa rencontre avec Werner MANESSE, maître verrier ,lui donne l’opportunité de réaliser un autre rêve ; le travail du verre ; l’étude de la transparence et de la couleur . Werner lui enseigne l’aphabet du verre. Naît alors un vocabulaire multicolore qui lui permet d’ajouter à la forme et à la matière, la touche magique de la lumiere afin d’y construire sa propre poèsie.
Yves Lohé crée alors son propre atelier de verre : Troisième art du feu. Il entre vite en harmonie avec son nouveau matieriau et s’invente une façon propre à travailler verre et bronze qui confère à chaque oeuvre un unique.
Yves Lohé c’est inspiré aussi de Aman Fernadez a travers les instruments coupés comme le violon haut ou le baby violon.
Ce qui fait l’Oeuvre de Lohé, c’est l’intégrité de son travail, sa continuelle réflexion sur l’Harmonie entre couleur et mouvement. Chaque sculpture s’adresse non seulement à l’oeil qui se promène, mais au sentiment qu’il fait naître en chacun.
Pour Yves Lohé, la chose la plus importante est sans aucun doute le regard de l’autre. Alors, à ce moment là naît toute la complicité entre l’Artiste et l’oeil qui s’attarde sur l’Objet.
Les Oeuvres d’Yves Lohé ont été proposés au travers des plus belles vitrines du Monde